La problématique
Comment sensibiliser les élèves du département de l’Yonne à la préservation du patrimoine naturel (biodiversité, eau, alimentation, etc.) de manière adaptée à leurs besoins et en tenant compte des ressources pédagogiques locales ?
Il s’agit également d’assurer une répartition équilibrée des interventions, de renforcer le maillage territorial, et de diversifier les structures partenaires tout en conservant un modèle fondé sur la subvention et non sur la prestation.
Un projet collaboratif
Le projet s’appuie sur une dynamique de coopération continue entre l’ensemble des acteurs impliqués : services de l’Éducation nationale, enseignants participant au dispositif, structures éducatives proposant des fiches actions et accompagnant les élèves, ainsi que les animateurs nature et institutions partenaires. Tout au long de l’année, depuis la phase de candidature jusqu’à la finalisation des projets, des temps d’échanges réguliers sont organisés afin d’accompagner chaque partenaire, de répondre aux besoins spécifiques et d’anticiper les éventuelles difficultés. Ces rencontres favorisent une circulation active des informations, un ajustement collectif du dispositif et un soutien partagé à la mise en œuvre des actions. L’organisation d’une journée « échange de pratiques » à l'attention dses professionnels ( EDD, Sport de pleine nature et gestionnaire de sites naturels) vient compléter ce suivi en renforçant la co-formation, la mutualisation et la richesse des collaborations.
Très belle initiative !
J’encourage les animateurs à poursuivre dans cette aventure car de nos jours il reste important de sensibiliser nos jeunes sur la préservation de nos héritages afin que nous puissions et qu’ils puissent continuer à en faire profiter nos générations futures
Le patrimoine naturel, un sujet qui gagne continuellement du terrain dans les préoccupations des étudiants en aménagement d’espace.
Si, quelques années en arrière, l’essentiel des diplômés de l’ESAAB poursuivaient leurs études dans les domaines de l’architecture ou de l’architecture d’intérieur, de plus en plus s’intéressent désormais aux problématiques de l’urbanisme, du paysage et de l’aménagement du territoire.
L’intérêt des futurs concepteurs (18 – 25 ans aujourd’hui) pour le patrimoine naturel et les stratégies de préservation est donc croissant mais, il reste insuffisant au regard des enjeux et de l’immensité des chantiers à entreprendre. Toute initiative de sensibilisation sur ce sujet, en amont des choix d’orientation scolaire post BAC est donc à saluer, à encourager et, à remercier…